Hommage de Google à Anita Conti dans un de ces fameux Doodle
en ouvrant chrome ce matin vendredi 17 mai 2018
Un Doodle Google est la qui célèbre la scientifique française qui est née il y a 120 ans.
Un hommage a Anita Conti photographe et océanographe ...
Que je ne connaissais pas ...
Anita Conti
Photographe
DescriptionAnita Béatrix Marthe Conti, née Caracotchian le 17 mai 1899 à Ermont et morte le 25 décembre 1997 à Douarnenez, est une océanographe et photographe française. Anita Conti fut la première femme océanographe française. Wikipédia
Date et lieu de naissance : 17 mai 1899, Ermont
Date et lieu de décès : 25 décembre 1997, Douarnenez
Livres : Racleurs d'océans,
Si son travail consistait à quantifier les ressources de la pêche au large dès l'entre deux guerres, la scientifique a rapidement constaté les effets néfastes de la pêche industrielle.
voici le Doodle animé de Google sur youtube ...
j'ai supprimé la vidéo de ma chaine ...
et en plus Anita Conti est une belle femme sur cette très belle photo d'époque ...
Anita Conti fut la première femme océanographe française. Entre les deux guerres mondiales, elle commença à dresser les premières cartes de pêche, alors qu'on ne disposait que de cartes de navigation. Son activité scientifique contribua à rationaliser les pratiques de pêche hauturière. Mais dès les années 1940, elle s'inquiéta des effets de la pêche industrielle sur les ressources halieutiques. Elle est également la marraine de l'Estran Cité de la mer, un musée consacré à la mer et à la pêche situé à Dieppe.
Philippe Le Bras
samedi 4 mai 2019
drone Zipline atterrissage par cable surprenante au rwanda
le fameux Drone de la Société Zipline qui fourni les poches de sang aux hôpitaux de Rwanda
à un retour à sa base des plus surprenant ...
qui n'est pas s'en faire penser au retour sur les portes avion ...
il fallait y penser ... ou ? une pratique courante sur les drones militaire qui existent depuis longtemps ??? possible ...
une façon de faire l'économie d'une piste atterrissage
coûteuse et demandant un dextérité au drone difficile et peu sur ...
la, le filin tendu attrape le drone par un crochet situé a l'arrière du Drone ...
simple et visiblement efficace et sans danger pour le drone ...
récupéré sain et sauf ... prêt pour un prochain voyage ...
le décollage est plus conventionnelle ou plus connu sur une rampe ...
«Trois, deux, un…» Les derniers mots de Leandre Twizeyimana sont recouverts par le bourdonnement de son drone blanc et rouge, et les cris des enfants du quartier en liesse devant cet objet volant semblable à une maquette d’avion. Posé sur sa rampe de lancement, l’engin en fibre de carbone et polystyrène de 3 mètres d’envergure passe de 0 à 100 km/h en seulement trois secondes. Il gardera cette allure pour livrer son précieux colis: des plaquettes et du plasma pour des malades à l’hôpital de Mugonero, situé sur les rives du lac Kivu, à plus de 150 km au nord du site de distribution de sang de Muhanga.
Le Rwanda a été le premier pays au monde à faire appel aux drones pour ravitailler ses hôpitaux en produits sanguins. Les premiers vols ont démarré en octobre 2016. Un projet fou imaginé par la start-up américaine Zipline. «Le sang est une denrée vitale. Or la livraison par camion prend trop de temps car les routes sont en trop mauvais état et de nombreuses poches de sang étaient perdues», explique David Mandelbaum, responsable des programmes de formation chez Zipline, qui affirme que le Rwanda était le pays le plus motivé quand sa start-up a présenté son idée. «Sur le site de Muhanga, situé à une cinquantaine de kilomètres de Kigali, nous livrons tous les hôpitaux de l’ouest du pays dans un rayon de 80 km, poursuit-il. Pour rejoindre certains de ces établissements en voiture il faut parfois 5 heures. Avec le drone, nous pouvons les livrer en 5 à 45 minutes.»
Commandes par SMS
En 2017, un autre site de distribution a été construit à l’est du pays. Grâce à ces deux infrastructures, Zipline peut livrer une vingtaine d’hôpitaux et couvrir les besoins de la quasi-totalité du Rwanda, pays de 12 millions d’habitants, «excepté la capitale, Kigali, pour des raisons de sécurité aérienne», précise David Mandelbaum. Chaque jour, une cinquantaine de colis sont envoyés à travers le pays des Mille Collines.
Les médecins commandent par SMS ce dont ils ont besoin. L’opérateur de la tour de contrôle de Zipline contacte alors l’aviation civile par talkie-walkie pour obtenir son accord. Dans le même temps, dans la pharmacie, les préparateurs s’activent pour empaqueter les poches de sang dans la boîte rouge cartonnée dotée d’un parachute en papier kraft. En deux minutes, le colis est prêt. Il n’y a plus qu’à l’installer dans le fuselage du drone et indiquer à celui-ci où il doit se rendre. «Il me suffit de scanner le QR code du paquet puis celui du drone avec mon téléphone pour transmettre les informations GPS au drone. Tous les parcours ont été préenregistrés, nos drones sont totalement autonomes», explique Leandre Twizeyimana en montrant son smartphone.
L’opérateur de vol installe ensuite les ailes de l’appareil ainsi que sa batterie, qui lui offre une autonomie de 150 km, puis attend le feu vert de l’aéroport de Kigali. Il aura fallu 5 minutes pour répondre à la demande urgente de l’hôpital, qui recevra les poches de sang dans moins d’une demi-heure. «Quand l’appareil arrive près du point de livraison, il descend à 20 mètres d’altitude et largue le paquet, qui tombe doucement au sol grâce à son parachute, décrit David Mandelbaum. Le drone remonte ensuite à 100 m d’altitude et rentre à la base.» Un retour impressionnant: les drones n’atterrissent pas, ils sont attrapés par un fil tendu à 5 mètres de hauteur à l’aide d’un crochet à la queue de l’appareil.
Médicaments et vaccins
Après trois ans de collaboration, Zipline va désormais pouvoir envoyer des médicaments et des vaccins aux hôpitaux rwandais, mais aussi aux centres de santé. Une extension du programme toujours soutenue par l’Alliance du vaccin (Gavi) et la Fondation UPS, pour un coût que Zipline refuse de dévoiler. «Le gouvernement rwandais prend en charge ce service. Les hôpitaux ne paient rien», assure David Mandelbaum. Des drones livreurs de produits essentiels qui survoleront dès le mois d’avril le Ghana. Quatre sites de distribution ont été construits au début de l’année dans ce pays d’Afrique de l’Ouest de 29 millions d’habitants. Le Sénégal serait aussi très intéressé.
Ce reportage a été réalisé dans le cadre d’un voyage organisé par l’ONG Action Santé mondiale, en partenariat avec le Conseil présidentiel pour l’Afrique.
Médicaments et vaccins
Après trois ans de collaboration, Zipline va désormais pouvoir envoyer des médicaments et des vaccins aux hôpitaux rwandais, mais aussi aux centres de santé. Une extension du programme toujours soutenue par l’Alliance du vaccin (Gavi) et la Fondation UPS, pour un coût que Zipline refuse de dévoiler. «Le gouvernement rwandais prend en charge ce service. Les hôpitaux ne paient rien», assure David Mandelbaum. Des drones livreurs de produits essentiels qui survoleront dès le mois d’avril le Ghana. Quatre sites de distribution ont été construits au début de l’année dans ce pays d’Afrique de l’Ouest de 29 millions d’habitants. Le Sénégal serait aussi très intéressé.
Ce reportage a été réalisé dans le cadre d’un voyage organisé par l’ONG Action Santé mondiale, en partenariat avec le Conseil présidentiel pour l’Afrique.