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vendredi 13 janvier 2023

Aujourd'hui j'ai 70 ans, je suis un homme et ...

Aujourd'hui j'ai 70 ans, ...je suis un homme ... suis je dans la moyenne statistique de mortalité des humains en cette année 2023 ? ...  

je suis née un 13 Janvier 1953 !!!! en Bretagne ...



et a ma naissance le 13 Janvier 1953 ? j'ignore l'heure ? ... mais cela ne doit pas avoir une influence statistique !!!

à mon avis j'ai dépassé l'age d'espérence de mon décès prévu à ma naissance ...

Mais c'est à vérifier ... alors ? Philippe ?

Je tape sur mon Google 



Gagné mon Philippe !!!... 

J'ai donc "Mathématiquement " et " Statiquement parlant"dépassé de 5.7 ans mon espérance de vie calculé à ma naissance !!!


Espérance de vie à la naissance en années ...







en étant né en 1953 si vous etes un homme vous allez vivre pendant 64.3 années ...

j'ai donc atteint l'age de décès des femmes de l'époque 70 ans ... 


Quelle est l'espérance de vie en France 2022 ?
Selon le scénario central des projections de population qui prolonge les tendances récentes, les filles nées en 2022 vivraient en moyenne 93 ans et les garçons 90 ans. Les femmes et les hommes âgés de 65 ans en 2022 vivraient en moyenne un peu moins longtemps : jusqu'à respectivement 89 ans et 86 ans.10 nov. 2022


ok j'ai encore quelques bonne dizaine d'années sans trop de soucis à venir ?  donc 
a ...... 2023 + 10 = 13 janvier 2033 !!!  encore de nombreuses surprises à venir ? 






Hier soir le 12 janvier 2023 Plage du Grau d'Agde 


Photo prise ce 12 01 2023 à 17 heure et 23 minutes
Encore un très beau coucher de soleil ...





https://infos2technos.blogspot.com/2023/01/aujourdhui-jai-70-ans-je-suis-un-homme.html

le lien de cette page

et maintenant je vais jouer un peu ...


est-ce compatible avec mon quest 2 ???

pas sur ? !!!

à suivre



lundi 9 janvier 2023

Rosalía, conquistador de la pop mondiale obs chanteuse espagnole

Rosalía, conquistador de la pop mondiale 



plein de mots ...  dans cet article à chercher pour comprendre le texte ?!!! … sur cette chanteuse espagnole  !!!  bonne recherche ... et découvertes ...
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Rosalia SAOKO le site à 10M d'abonnés ...

ou l'obs peut nous mener à découvrir entre texte et musique  ...

!!!! elle est la première chanteuse espagnole à compter 1 milliard d’écoutes sur Spotify. !!!

a lire et relire ... et découvrir ... merci Fabrice Pliskin

Avant son concert ce dimanche 18 décembre à l’Accor Arena Paris, écoutons l’expertise de Louis Lambilliotte, directeur artistique de Because Editions, qui administre les droits français de son premier disque :
« Rosalía s’inscrit dans la tradition flamenco, espagnole, autochtone, avec des accents gitans. Son premier album, “Los Angeles”, était un disque de flamenco, guitare-voix, très sobrement produit. Avec ses deux albums suivants, “El Mal Querer” et “Motomami”, elle se projette hors du marché espagnol, dans la sphère internationale. Elle garde certains codes du flamenco comme les claquements de mains, ce qu’on appelle les “palmas”, qui lui servent de percussions. Mais elle supprime presque toutes les guitares et elle opte pour les nappes sonores électroniques et la production futuriste, expérimentale du producteur espagnol El Guincho, qui produit aussi la rappeuse belge Lous and the Yakuza. El Guincho a joué un rôle primordial dans la reconnaissance de Rosalía. Avec le rappeur C. Tangana, son ex-petit ami et collaborateur. »
« Mi casa es su casa »
Au-delà de son talent, la domination de Rosalía s’inscrit aussi dans un moment d’hispanophonie triomphante. Un boulevard – plus long que les Ramblas – s’ouvre à sa gloire. Succès mondial de « Despacito », la chanson du Portoricain Luis Fonsi (2017). Explosion du reggaeton, ce genre musical né à la fin du XXe siècle de la rencontre des travailleurs immigrés jamaïcains et des musiques du Panama et de Porto Rico.

Célébrée par Shakira, Billie Eilish et Virginie Despentes, la chanteuse espagnole de néo-flamenco, en concert à Paris dimanche 18 décembre, conquiert le monde et ses 550 millions d’hispanophones. Explications.

Par Fabrice Pliskin

·Publié le 18 décembre 2022 à 8h00·Mis à jour le 18 décembre 2022 à 20h06

Temps de lecture 4 min



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Rosalía, conquistador de la pop mondiale
Rosalia.  (Dr/Sony Music/Columbia Records )
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Célébrée par Shakira, Billie Eilish et Virginie Despentes, la chanteuse espagnole de néo-flamenco, en concert à Paris dimanche 18 décembre, conquiert le monde et ses 550 millions d’hispanophones. Explications.
Par Fabrice Pliskin
·
Publié le 18 décembre 2022 à 8h00
·
Mis à jour le 18 décembre 2022 à 20h06
Temps de lecture 4 min
C’est un phénoménal phénomène. A 30 ans, Rosalía impose son néo-flamenco à la planète. Avec son dernier album, « Motomami », elle est la première chanteuse espagnole à compter 1 milliard d’écoutes sur Spotify. L’impératrice colombienne Shakira l’adoube sur Twitter : «  Rosi ! Mon pays et moi, on t’aime très fort. » En France, la romancière Virginie Despentes la célèbre comme « l’une des jeunes interprètes les plus importantes de sa génération », tandis que le site Konbini vous explique « pourquoi Rosalía est la meilleure artiste de tous les temps ». Ce qui est un peu cavalier pour Nina Simone. Elle s’est même vu confier (malgré sa fortune estimée à 49 millions de dollars) un rôle de blanchisseuse par Pedro Almodóvar dans le film « Dolor y Gloria ».

Pour se rendre inoubliable, elle a chanté « Lo Vas A Olvidar », en duo avec l’Américaine Billie Eilish, non sans imposer à la poétique Yankee son hégémonie linguistique. Et si quelques puristes l’accusent de s’approprier illégitimement des traditions gitanes et andalouses, il semble que cette Catalane de Barcelone peut tout se permettre. Chanter « Milionària » en catalan, si ça lui chante. Se changer en troubadour, ou plus exactement, en félibre : son deuxième album, qui était son travail de fin d’étude à l’Ecole supérieure de Musique de Catalogne, s’inspire de « Flamenca », un roman anonyme occitan de 8 085 vers octosyllabiques, paru au début du XIIIe siècle, à la cour du baron de Roquefeuil, seigneur du Rouergue.
La suite après la publicité
Avant son concert ce dimanche 18 décembre à l’Accor Arena Paris, écoutons l’expertise de Louis Lambilliotte, directeur artistique de Because Editions, qui administre les droits français de son premier disque :
« Rosalía s’inscrit dans la tradition flamenco, espagnole, autochtone, avec des accents gitans. Son premier album, “Los Angeles”, était un disque de flamenco, guitare-voix, très sobrement produit. Avec ses deux albums suivants, “El Mal Querer” et “Motomami”, elle se projette hors du marché espagnol, dans la sphère internationale. Elle garde certains codes du flamenco comme les claquements de mains, ce qu’on appelle les “palmas”, qui lui servent de percussions. Mais elle supprime presque toutes les guitares et elle opte pour les nappes sonores électroniques et la production futuriste, expérimentale du producteur espagnol El Guincho, qui produit aussi la rappeuse belge Lous and the Yakuza. El Guincho a joué un rôle primordial dans la reconnaissance de Rosalía. Avec le rappeur C. Tangana, son ex-petit ami et collaborateur. »
« Mi casa es su casa »
Au-delà de son talent, la domination de Rosalía s’inscrit aussi dans un moment d’hispanophonie triomphante. Un boulevard – plus long que les Ramblas – s’ouvre à sa gloire. Succès mondial de « Despacito », la chanson du Portoricain Luis Fonsi (2017). Explosion du reggaeton, ce genre musical né à la fin du XXe siècle de la rencontre des travailleurs immigrés jamaïcains et des musiques du Panama et de Porto Rico.
Aujourd’hui, même la K-pop de Corée du Sud se surprend à chanter en espagnol, la quatrième langue la plus parlée dans le monde après l’anglais, le mandarin et l’hindi. Rosalía parle donc, non seulement à l’Espagne, mais aux 550 millions d’hispanophones, en Amérique centrale, en Amérique du Sud, sans compter les 62 millions d’hispanophones des Etats-Unis, où l’on trouve plus de locuteurs qui parlent espagnol qu’en Espagne.
Rosalía ? « Mi casa es su casa », lui dit la planète. « Au risque, parfois, de s’affranchir de sa singularité au profit d’une musique plus commerciale », dit Lambilliotte, cette conquistador a construit son succès international, méthodiquement, à coups de collaborations aussi réfléchies que virales, en langue espagnole : «  Brillo », avec le chanteur colombien J Balvin, celui qu’on surnomme le prince du reggaeton. « La Noche de Anoche » avec le Portoricain Bad Bunny, autre demi-dieu du reggaeton. Citons aussi « la Fama », une néo-bachata où le Canadien The Weeknd délaisse son anglais maternel pour chanter en espagnol sororal. « TKN » avec le rappeur américain Travis Scott. Ou encore « Me Traicionaste » avec le rappeur américano-péruvien A. Chal, enregistré pour « For The Throne », la (médiocre) BO de la série « Game Of Thrones ».
Moto-meuf
Rosalía Vila Tobella, née en 1992, a grandi à Sant Esteve Sesrovires, une petite ville située à 40 kilomètres au nord-ouest de Barcelone. Divorcés, ses parents ont longtemps travaillé à Suprametal, l’entreprise familiale qui, depuis 1967, fabrique des plaques d’immatriculation et des étiquettes en métal. Mais Rosalía n’a rien d’une dame de fer. Dans son pays natal, sa fluide féminité alimente des Mémoires universitaires comme celui-ci :
« La néo-libération du féminisme dans l’industrie culturelle : la construction discursive de Rosalía comme icône du mouvement féministe. »
Voyez comme cette icône se représente sur la couverture de son disque « Motomami ».  « Motomami » ? Signification : moto-meuf. Interprétation : la femme est le moteur de l’Histoire. Détournement de la Vénus de Botticelli, réanimée par l’esthétique manga, ce portrait est un manifeste. Casquée comme une Athéna badass descendue de sa Harley-Davidson, Rosalía y pose nue, mais sans cette hypersexualisation super-héroïque dont les rappeuses, avec une science magistrale, ont trouvé le secret. Pudeur crâne, hardie, paladine, une main sur les seins, l’autre sur la chocha. Force tranquille d’une féminité sans entraves, entre deux « roue arrière » transcendantales. On dirait l’allégorie d’un monde où le féminisme aurait définitivement gagné.

La figure de la bikeuse domine aussi son clip « Saoko », filmé à Kiev avant la guerre. Rosalía y incarne la cheffe cagole d’un gang de motardes avides de rodéos, symbole conventionnel d’une radicalité grand public. Dans cette chanson, elle fait sien le nouveau catéchisme de la fluidité et chante avec une gracieuse frénésie : «  Je ne suis qu’à moi, je me transforme/Un papillon, je me transforme/Maquillage de drag-queen, je me transforme/Comme la sirène du sexe, je me transforme/Je me contredis, je me transforme/Je suis tout à la fois, je me transforme… ». Et, en effet, sans doute se contredit-elle. Si, par sa démonstration de puissance et de charmes, cette vidéo a de quoi séduire un esprit féministe, les personnes antiféministes n’y seront sans doute pas insensibles : elle multiplie les gros plans callipyges.
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Par Fabrice Pliskin
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jeudi 15 décembre 2022

Très belle pochette spychédélique des Cream groupe de rock flower power

Pour une très belle pochette spychédélique des Cream groupe de rock


en fouillant dans mes souvenirs ... Flower Power
le vrai pouvoir des fleurs ? 

je la garde ici ... je la conserve ?

Ma préférée ( la plus spychédélique du moins )  ... et peu connu je pense ... les Cream qu'elle époque spychédélique !!! 

en cherchant en fouillant ... un site :



Ambrefied actualités artistiques

et photographique

pour le plaisir ... d'etre à jour ...

?